Hu Feng

Billet de Charles-David Lagacé

Hu Feng's Letters

Hu Feng est connu sous deux autres noms; Zhang Mingzhen et Zhang Guangren. Il est né en 1902 dans la province de Hubei. Il était théoricien, littéraire ainsi que critique de tout ce qu'il voyait et ce qui touchait la Chine autant sur l'économie que la politique. Il suit avec rigueur la théorie du marxisme dans la politique et  les besoins relationnelles, cependant lorsqu'il utilise sa plume c'est tout autre. Il a une autre personnalité lorsqu'il écrit des articles critiques ou scientifiques, le marxisme n'y est plus et pourtant il a étudié dans des université de Chine et même au Japon pour analyser la littérature anglaise. Il est du type provocateur et extrémiste dans ses propos ce qui lui a valu un emprisonnement de 1955 à 1979 à cause de sa littérature dite créateure et antirévolutionnaire. Il est mort en 1989 à Beijing.

Son objectif principal a toujours été de faire avancer le libéralisme chinois dans une société où les dirigeant sont pour la plupart aucunement libéraux. Étant un idéaliste et un homme sans filtre, il a écrit des lettres dès 1944 jusqu'à son arrestation en 1955. Ses lettres varient souvent, pour une c'est des pensées critiques après avoir un livre qu'il a trouvé trop peu général dans les sujets abordés et non justifiable l'achat ainsi que ceux qui sont contre sa façon de procéder n'ont que des idées matérialistes. Dans une autre lettre, il critique le fait que le magasine chinois censure ce qu'il veut et publie ce qui est potable à ses yeux pour qu'l n'y ait pas de propagandes ou des écrits non adéquats qui donneraient de mauvaises idées aux lecteurs. 


Dans la plupart des ses lettres, il parle de ce que désire la population. Le besoin de s'exprimer librement sans craindre de représailles d'intellectuels simplistes et ignorants. Le peuple de la Chine est prête à recevoir une chance de pouvoir vivre en paix et sans eaux troubles et de corruptions. Les groupe indépendant qui veut un système juste, clair et efficace est clandestin. Ce ne sont pas tous des groupes uniques, car il y a ceux qui préfèrent avoir un gouvernement socialiste, d'autres c'est le communisme et d'autres encore la richesse égocentrique.

Il affirme dans sa dernière lettre, qu'il est au courant de ses erreurs et qu'il les assume toutes. Cependant, il ne cessera pas ses activités pour autant même si c'est pour désobéir aux lois implicites de la littérature et des arts. J'aime bien sa personnalité individualiste, car c'est ce qui le différencie des autre écrivains littéraires qui suivent le courant sans se poser les bonnes questions. Je trouve que les lettres du littéraire Hu ne sont pas à prendre comme étant la vérité absolue, mais plutôt comme une façon d'ouvrir différents courants de pensée en chacun de nous ce qui nous mettra plus méfiant, mais mieux outillé en ce qui concerne les magazines et journaux local.