Valeurs universelles ou valeurs chinoises ?

Texte de Zhang Rongjun

Xu Jilin, « Valeurs universelles ou valeurs chinoises ? Le courant de pensée de l’historicisme dans la Chine contemporaine », Rue Descartes, n° 72 (février 2011), p. 52-68.
Xu Jilin, né en 1957 à Shanghai, il est présentement professeur d’Histoire à l’Université normale de l’Est de la Chine et membre de l’Association historique de Shanghai. Dans la grande révolution culturelle prolétarienne, ses études ont été arrêtées et il a devenu bibliothécaire à la Ferme Donghai à Nanhui, Shanghai. Après le rétablissement du système du Gaokao, il a été admis par le Département d’Éducation politique, l’Université normale de l’Est de la Chine et est devenu un enseignant à la même université à la fin de ses études. Il a dirigé de nombreux livres, dont Un autre idéalisme. (Liangent-bot 2014)

L’article « Valeurs universelles ou valeurs chinoises ? Le courant de pensée de l’historicisme dans la Chine contemporaine » discute de la sélection des valeurs pour la Chine, puisque l’auteur trouve que la Chine a une hésitation entre des valeurs occidentales et chinoises, donc la Chine doit choisir une meilleure voie pour son futur favorisant le développement de l’État. La Chine est longtemps un État civilisé, mais l’Occident s’est remplacé sa place à la modernité. Les Chinois s’efforcent de redevenir une puissance forte du monde. Au début du fondement de la République populaire de Chine, l’atmosphère sociale a été déterminée comme « anti-occident », lorsque la Chine a rouvert sa porte au monde, l’Occident est comme un modèle pour la Chine, mais l’essor du nationalisme est ensuite revenu, donc la Chine essaie maintenant de développer ses valeurs uniques.


L’auteur fait ses recherches selon l’histoire et l’économie chinoises, il explique le contexte en premier plan, ensuite il comment les Chinois étudiaient des valeurs occidentales jusqu’à l’historisme, et puis les Chinois a une volonté de se répand leurs valeurs dans le monde comme des valeurs universelles. Dans le texte, l’auteur nous donne une conclusion que la Chine doit être reconstruit un État civilisé avec ses valeurs uniques, mais sans facteurs occidentaux en abandonnant le nationalisme, puisqu’il croit qu’il n’existe pas de valeurs universelles, des valeurs occidentales ne s’adaptent pas à la Chine, la civilisation chinoise ira à la ruine si la Chine poursuit l’Occident.

Celui est un texte argumentatif, il se discute autour d’un thème que l’auteur cite de plusieurs exemples et données à fin d’expliquer ses opinions, l’auteur donne finalement une conclusion pour des valeurs chinoises, il présente une voie pour le développement de l’idéologie chinoise dans le futur. Toutefois les opinions de l’auteur de ce texte sont unilatérales, puisque l’auteur n’a pas d’idées objectives sur des valeurs occidentales. La civilisation chinoise doit être fondée sur ses traditions uniques qui inclut toutes les cultures de différentes ethnies chinoises, mais s’inspire de l’Occident, puisque chaque civilisation a son point fort, la Chine est un État multinational qu’elle est historiquement influencée par plusieurs ethnies, on ne peut pas détermine le standard de ses valeurs. Comme le Japon, il excelle à apprendre des bonnes dimensions de différents pays, donc il peut améliore sa civilisation.